Elle cherchait donc un moyen :
- De gagner plus d’argent en parallèle de ses études sans sacrifier son peu de temps libre dans des boulots sous-payés – en donnant des cours particuliers.
- D’éviter la fatalité du chômage lors de son entrée sur le marché du travail – en se mettant à son compte dès la fin de son Master.
Mais elle ne savait pas comment faire pour atteindre ses 2 objectifs. Raison pour laquelle elle a rejoint 1k1mois. Et voici le résultat…
Voici l’histoire de Ghizlene et comment elle s’y est pris pour réussir en freelance (actualisé en février 2020)
Près de 20 % des étudiants français vivent en dessous du seuil de pauvreté.
Le savais-tu ?
Peut-être bien si, faute de moyens financiers :
- Tu sautes régulièrement des repas.
- Tu as renoncé aux soins médicaux.
- Tu acceptes des boulots à 5€ de l’heure.
- Tu profites parfois d’un coup de pouce de la Croix Rouge.
Une situation intenable pour certains étudiants, obligés d’abandonner leur BTS, IUT, Licence ou Master pour se résoudre à des emplois bien en dessous de leurs capacités…
…le restant de leur vie.
Comment assurer son avenir dans ces conditions ?
La précarité étudiante du système français ne le permet pas (ou difficilement). Et ce n’est pas prêt de s’améliorer.
Car tous les moyens sont bons pour faire cracher l’étudiant au bassinet.
Les chiffres parlent d’eux-mêmes :
Tu fais partie de cette majorité d’étudiants lésés ?
Alors, profite de ma stratégie pour sortir de cette précarité et assurer ton avenir.
Les 4 barrières qui empêchent l’étudiant d’assurer son avenir
Je vois venir ta première question :
« Mais qui es-tu donc pour me conseiller ? »
Je suis juste une étudiante en Master 1 Neuropsychologie. Mais à 21 ans, je m’assume seule à 100%.
Et j’ai su surmonter les difficultés auxquelles une majorité d’étudiants est confrontée.
1. Un budget mensuel dans le rouge
À ce niveau-là, je ne suis pas la plus à plaindre.
Ma bourse et mon APL me permettent de financer un 18 m² en résidence universitaire.
Une fois mon loyer réglé, il me reste 250 € par mois pour vivre.
Mais avec les repas, les transports, le téléphone, l’assurance habitation, les frais d’entretien divers et les produits de première nécessité, c’est 550 € mensuels en plus à payer.
Il me manque donc 300 € par mois pour couvrir toutes mes charges.
Sachant que je n’inclus ni mes loisirs ni les imprévus dans ce budget.
Autant dire qu’il faudrait être un robot pour assurer ses études dans ces conditions.
Tu connais la chanson ?
Peut-être que c’est encore plus difficile pour toi si tu te tapes l’EDF, la taxe d’habitation, la mutuelle et d’autres charges que je n’ai pas de mon côté.
Un tout qui peut rapidement faire culminer ton reste à charge à 800 €/mois.
Du coup, tu n’y échappes pas…
2. L’obligation du salariat étudiant
Arrivés là, certains te demanderont sûrement :
« Personne ne peut t’aider à combler ton découvert mensuel dans ton entourage ? »
Peut-être bien pour le plus chanceux, mais soyons réalistes.
Aujourd’hui, les temps de formation durent 9 ans en moyenne (de 18 à 27 ans) jusqu’à l’accès éventuel à un emploi stable.
Et en seulement 5 ans, l’aide familiale comme source de financement des étudiants est passée de 30 à 25%.
Normal, la vie est de plus en plus chère. Et tous les parents ne peuvent pas financer intégralement leurs enfants pendant presque 10 ans.
Trouver un taf en parallèle devient alors une nécessité pour la moitié des étudiants français.
De mon côté, financer mon débit de 300 € et mes loisirs m’a obligé à enchaîner les petits boulots :
- Caissière le week-end pour 300 € par mois.
- Baby-sitter tous les soirs pour 100 € mensuels.
Mais à quel prix ?!
3. Perte de temps et facteur d’échec
Zéro expérience, sans diplôme, emploi précaire ou stage au rabais : les excuses ne manquent pas pour exploiter les étudiants.
Tu dois donc enchaîner les heures payées au SMIC pour espérer combler ton déficit.
Un volume horaire sacrifié, diminuant d’autant :
- Ton temps passé à étudier ; au détriment de ta réussite scolaire.
- Ton temps libre pour évacuer le stress ; au détriment de ta santé.
Sachant qu’un petit boulot chez McDo ne t’aidera pas à avancer dans ton cursus ou ta spécialité.
Prends mon exemple : caissière et baby-sitter ne collent pas vraiment avec mes centres d’intérêt et mes compétences en devenir.
Bref, que de temps perdu !
Et que dire des stages non rémunérés ?
Lors de ma 3ème année de licence au Canada, j’étais payée 16 $/heure pour mon stage en laboratoire de psychologie de l’éducation. Cela me permettait d’assumer mes dépenses sereinement pour me focaliser sur mes études à 100%.
En France, on ne peut espérer qu’une rémunération en dessous du salaire minimum et non systématique…
Un sacré gouffre entre Montréal et Paris dans la gestion de leurs étudiants (autant que dans celle de leurs salariés d’ailleurs).
Bon, tu vas peut-être penser :
« Elle s’égare un peu là Ghizlène. Restons focalisés sur l’avenir des étudiants français. »
Vrai. Alors, concluons ce constat par un aperçu de ce qui nous attend à la fin de nos études.
4. De la précarité étudiante à celle du marché du travail
Dans 2 ans, j’obtiendrai mon diplôme.
Dans deux ans, je serai donc… au chômage !
Belle perspective d’avenir, non ?
Face à la frénésie de la moitié de ma promotion à vouloir faire une thèse de doctorat, notre prof d’université nous a avoué sans détour :
« Seulement 2 étudiants sur 15 feront vraiment une thèse. Et parmi tous ces thésards, seulement 10% deviendront maîtres de conférences… et même pas professeurs d’université. »
Traduction : il y a du monde qui va rester sur le carreau. :(
Peut-être n’est-ce pas ton cas si tu fais une grande école de commerce ou d’ingénieur.
Mais tu as sûrement déjà eu droit au fatalisme que l’on nous assène sur la difficulté de l’insertion professionnelle.
En tant qu’étudiante en neuropsychologie, c’est mon lot quotidien.
D’ailleurs, les faits sont là pour confirmer mes angoisses :
- Les neuropsychologues diplômés sont dans une grande précarité.
- Avec son premier diplômé en 1993, le métier est encore mal reconnu et les postes sont peu nombreux.
- Quant aux CDI à temps complet en institution, autant dire qu’ils sont « wanted ».
Et puis, combien de fois ai-je entendu des étudiants et professeurs clamer :
« On ne fait pas psychologie pour gagner de l’argent. »
Logique… nous œuvrons dans le social. Nous ne rapportons donc pas d’argent à la société.
Alors, démerdons-nous pour gérer notre précarité pendant nos études, et supportons-la davantage une fois diplômés.
Comme si vivre dans cet état d’aliénation perpétuel et prétendre pouvoir aider les autres était une évidence.
Les étudiants en psycho sont loin d’être les seuls dans ce cas. Et fatalement, la première question qui nous vient tous en tête est :
À quoi bon s’investir à fond dans nos études si c’est pour en arriver là ?
Alors que nous devrions plutôt nous demander :
- Comment sortir de cette précarité programmée ?
- Comment planifier des projets en relation avec nos études au lieu de gâcher notre temps avec des boulots précaires ?
- Comment assurer notre avenir ?
Les 5 bénéfices à lancer son business en parallèle de ses études
Monte ton business en parallèle. La voilà la solution !
Tu t’attendais à plus spectaculaire ?
Je peux imaginer…
Lancer son activité n’est pas une recette miracle. Mais c’est la meilleure façon d’assurer ton avenir aujourd’hui.
Et pour réussir ce projet, tu dois commencer par déterminer ton « Quoi » et ton « Pourquoi ». Bref, les motivations profondes qui animent ton envie d’entreprendre.
Besoin d’exemples ?
Ok, c’est parti !
1. Tu gagnes deux fois plus d’argent qu’un étudiant salarié
Tu sais que pour subvenir à tes besoins tu dois bosser en parallèle de tes études.
Tu n’as pas le choix.
Alors, pourquoi accepter de te faire exploiter avec un SMIC horaire à 10 € quand tu peux être payé 20 € de l’heure en travaillant à ton compte ?
D’autant plus utile si, comme moi :
- Ton reste à charge est conséquent.
- Tu espères gonfler ton épargne.
- Tu comptes anticiper n’importe quel imprévu.
- Tu souhaites te payer le permis, un scooter ou tout autre moyen de t’émanciper.
Pour d’autres idées de dépenses, je te fais confiance. ;)
20 € de l’heure te parait cher payé ?
Détrompe-toi, c’est un tarif raisonnable pour beaucoup de petits boulots simples en freelance.
D’ailleurs, c’est celui que j’ai appliqué avec succès pour débuter avec mon service de soutien scolaire à domicile.
2. Tu te dégages du temps pour tes études et tes loisirs
Pour un étudiant, le temps vaut parfois bien plus que l’argent.
Prends mon cas. Avant de lancer mon business d’aide aux devoirs, ma semaine s’articulait ainsi :
- Baby-sitting tous les soirs.
- À la caisse tous les samedis, dimanche.
- 2 jours par semaine dédiés à l’hôpital
Et il me restait 3 jours pour mes cours et mon travail personnel.
Certes, malgré cet emploi du temps bondé je n’ai pas compromis mes études. Mais c’était extrêmement compliqué à gérer.
Sans compter que j’ai perdu plusieurs points sur ma moyenne à cause du stress financier.
Et puis, ce n’était pas la vie rêvée.
Aujourd’hui, mon activité de services à la personne me permet de travailler deux fois moins pour le même revenu. Voire un peu plus.
Je peux donc consacrer deux fois plus de temps à mes études selon mes besoins…
Et profiter de tous mes samedis de libres pour souffler.
Un luxe inestimable !
3. Tu acquiers de l’expérience dans ton domaine
Souviens-toi de mes paroles :
« Profite de ma stratégie. »
Eh bien, la voilà.
Le but n’est pas de lancer n’importe quel business n’importe comment, mais de faire en sorte que ton activité en freelance soit en lien étroit avec tes études.
- À quoi bon faire serveur ou barman si ton cursus en scientifique ?
- À quoi bon trimer chez Pizza Hut ou KFC si tu es dans le social ?
À quoi bon faire des petits boulots « vide-cerveau » qui ne feront que t’épuiser, t’empêcheront d’avancer et de t’éduquer pour finalement ne te mener nulle part ?
Ne perds pas ton temps avec ça !
Ma stratégie personnelle ?
Je propose de l’aide aux devoirs à domicile avec la valeur ajoutée d’une psychologue en formation pour accompagner les enfants en difficultés.
Derrière chaque problème d’apprentissage se cachent souvent des troubles neurologiques ou cognitifs que je peux aider à surmonter.
Alors, je me sers de ce service de soutien scolaire pour y adosser mon expertise :
- J’applique sur le terrain ce que j’apprends en cours.
- Je peux faire mes erreurs d’entrepreneuse débutante sans répercussions majeures.
- Et je gagne en expérience.
À toi de trouver le domaine d’activité qui te permettra d’en faire autant.
4. Tu t’octroies une sécurité après tes études
Penses-tu trouver un job dès l’obtention de ton diplôme ?
Pas certain.
Perso, une fois mon master en poche, je postulerai pour un emploi en institution histoire de gagner du galon dans le métier.
Je sais très bien que je n’obtiendrai aucun poste avant au moins 6 mois/1 an… si j’ai de la chance.
Mais peu importe. Je continuerai simplement mon job de freelance pour m’octroyer une sécurité financière. D’autant plus que je pourrai y consacrer plus de temps.
Ainsi :
- J’affuterai mes compétences d’entrepreneuse tout en me faisant reconnaître dans ma spécialité.
- Je profiterai d’un revenu fixe en attendant d’avoir une proposition d’emploi sérieuse.
- Et j’aurai même le loisir de refuser les offres non adaptées ou mal rémunérées.
Pense à cela de ton côté.
Quand bien même tu es susceptible de trouver un taf plus rapidement que moi, l’objectif n’est pas d’accepter le premier job venu par nécessité.
Ton activité doit te permettre de sortir du schéma fataliste et anxiogène du demandeur mendiant d’emploi.
5. Tu t’assures un avenir sans chômage ni précarité
Imagine qu’au bout de quelques années tu ne trouves pas de poste digne d’intérêt, tu es sous-payé, ou pire encore, tu n’as toujours pas de boulot fixe.
Plutôt courant aujourd’hui, même avec un bon diplôme.
Sceptique ?
Alors, lis attentivement l’article de Slayne sur l’avenir du travail.
Ses révélations m’ont littéralement scotchée !
Entre ça et un prof d’université nous expliquant que les entrepreneurs gagnent bien mieux leur vie que les enseignants :
- Comme l’une de ses étudiantes qui a monté son cabinet prospère dans un quartier aisé.
- Ou une autre qui s’est lancée dans la « neuropsychologie de l’entreprise » avec succès.
Je peux t’assurer qu’il y a de quoi réfléchir.
Moi qui avais toujours rêvé d’un doctorat, de devenir maître de conférences et de faire de la recherche. Moi qui avais uniquement imaginé une longue carrière universitaire jalonnée de gloire à grands coups de publications pour me faire un nom, je me suis dit :
« Et pourquoi ne pas tenter ma chance en indépendant ? »
Le voilà l’ultime bénéfice de ton business en parallèle de tes études.
Quelles que soient tes motivations :
- Créer ton propre job faute d’en trouver un.
- Gagner ta vie plus rapidement.
- Éviter la précarité du statut de salarié.
- Devenir ton propre patron.
Tu disposeras déjà d’une base solide…
Et tu n’auras plus qu’à pérenniser ton activité.
Comment lancer son business en parallèle de ses études ?
Si mes arguments t’ont touché et que l’idée d’entreprendre commence à te titiller, certaines questions doivent maintenant tourner dans ta tête :
« Quelle activité choisir ? Par où commencer ? Comment m’y prendre pour réussir ? »
Je suis passée par là. Et avec le recul, j’ai compris que :
Lancer son activité est une compétence à part entière.
Cela ne s’improvise pas !
Et quand bien même tu es le meilleur dans ton domaine, cela ne suffit pas.
Alors…
Forme-toi au business, apprends à te vendre
C’est le conseil le plus important que je peux te donner aujourd’hui.
Tu mettras toutes les chances de ton côté pour gagner de l’argent rapidement.
Pour ma part, j’ai commencé par m’abonner à des newsletters, lire de nombreux articles et visionner beaucoup de vidéos en m’intéressant de près :
- Au statut d’étudiant entrepreneur
- Au programme PEPITE
- Aux investissements immobiliers.
- Aux créations de boutiques en ligne…
Sans pour autant me sentir attirée par ces domaines.
Et pour être franche, toutes ces lectures ne m’ont pas apporté grand-chose.
Après quelques mois, Haydée est restée la seule blogueuse business présente dans ma boite mail que je lisais encore.
Ses articles pratiques et son webinaire pour trouver l’idée profitable m’ont vraiment aidé à m’orienter.
Ce qui m’a naturellement poussée à rejoindre son cours 1K1mois pour convertir mes compétences en 1000 €/mois.
Ce que j’en ai tiré ?
Mes premiers revenus d’indépendante, bien sûr !
Et des notions décisives applicables aussi bien au business qu’au quotidien. Des stratégies et des tactiques qui me serviront toute ma vie.
J’aimerais pouvoir t’expliquer tout ce que j’ai appris en détail ici.
Mais résumer 7 semaines de formation intensive en quelques paragraphes est tout bonnement impossible.
Alors, voici déjà quelques tuyaux issus de mon expérience 1k1mois pour lancer ton activité avec succès :
Construis un business que tu aimes vraiment
C’est l’une des toutes premières choses que j’ai intégrées avec le cours.
Tu dois être extrêmement motivé par ton projet. Car il prendra pas mal de place à côté de tes études.
Et dans les moments difficiles (qui ne manqueront pas d’arriver), si tu n’es pas assez passionné par ton business, tu n’auras qu’une envie :
Tout lâcher !
La bonne nouvelle ?
Nous avons tous tendance à nous passionner pour les choses que nous maîtrisons déjà. Plutôt bon signe pour toi qui doit lancer une activité en lien avec tes études.
Car si tu as choisi d’étudier un domaine particulier, j’imagine que c’est parce que tu l’aimes et que tu es bon dedans.
Autant dire qu’avec les e-boutiques et l’immobilier, j’avais tout faux dès le début…
J’étais bien loin de ce qui me fait vibrer :
- Ma connaissance du développement de l’intelligence de l’enfant
- Mes passions pour la cognition, la psychoéducation et le développement affectif.
- Ma vocation à aider les enfants en difficulté.
Alors, pour transformer ces atouts en job étudiant profitable, j’ai orienté mon idée de business vers un service de soutien scolaire à domicile pour les enfants d’école primaire et les collégiens.
Tu ne sais pas quoi faire de ton côté ?
Recense tes centres d’intérêt, tes forces et tes compétences pour t’orienter vers l’activité qui te correspond le mieux.
Définis tes objectifs avec des délais précis
Cela te permettra :
- De découper tes tâches et de les prioriser.
- De garder ta motivation au top grâce à de petites victoires.
- Et de vérifier régulièrement que tu es sur la bonne voie.
Cette démarche est primordiale pour planifier ton parcours afin d’avancer efficacement.
C’est ta feuille de route.
Besoin d’un exemple concret ? Ok.
Voici les objectifs que j’ai définis fin octobre 2017 quand j’ai commencé 1k1mois.
Objectifs à long terme :
Dans 1 an, je veux gagner 900 € net par mois avec mon activité en parallèle de mes études.
Dans 2 ans, je veux mon diplôme de neuropsychologue et un job en institution (ou dans les hôpitaux) pour m’exercer et gagner en confiance.
Et je continuerai mon activité freelance de soutien scolaire en y intégrant graduellement les outils de la neuropsychologie.
Dans 5 ans, je veux monter mon cabinet de neuropsychologue indépendante.
Dans 7 ans (environ), je veux m’acheter un appartement.
Dans 10 ans, je veux créer un centre pour les troubles d’apprentissage en partenariat avec d’autres professionnels (mon rêve !).
Objectifs à court terme :
À partir de novembre 2017, je veux dédier 7 heures par semaine à la préparation de mon business pour gagner mes premiers revenus dans les 3 mois qui suivent.
En janvier/février 2018, je veux donner 4 heures de cours par semaine à mes premiers clients pour un revenu d’un peu plus de 200 € net par mois.
À partir de mars 2018, je veux augmenter mes heures de cours progressivement jusqu’à 10 par semaine, puis mes tarifs afin d’atteindre mes 900 € par mois dès 2019.
À toi maintenant :
Note tes propres objectifs sur un papier ou un fichier.
Et garde-les toujours à portée des yeux pour te rafraichir la mémoire.
Bien sûr, tu modifieras ces objectifs en fonction des imprévus et de la réalité du terrain. Mais le plus important est de disposer d’une direction claire.
Car ceux qui ne planifient rien n’agissent pas.
Après…
Concentre-toi sur les actions importantes
Au début, je n’ai pas trop parlé de mon projet autour de moi. Car on aurait vite essayé de m’en dissuader :
« Oui mais… Tu as déjà tes études. Tu travailles à côté avec deux jobs. Pourquoi suivre une formation en plus ? Et tes révisions ? »
Aaah ! Ce problème de temps… D’autant plus hardcore que j’avais déjà plein de choses sur le feu.
Et puis, j’avais tellement d’idées qui tournaient dans ma tête concernant mon business que j’en étais submergée.
Résultat :
Je ne savais pas vraiment par où commencer.
Je me voyais partir dans :
- La lecture d’une pile interminable de bouquins sur la pédagogie pour savoir comment aider les enfants.
- La création d’un blog pour sensibiliser les parents.
Mais en quoi ces actions m’auraient-elles permis de gagner de l’argent rapidement ?
1k1mois m’a obligée à aller sur le terrain et à réaliser les actions importantes en premier :
- Trouver et écouter mes futurs clients.
- Les comprendre profondément.
- Venir avec une solution pour les aider à résoudre leurs problèmes.
Voilà ce sur quoi tu dois te focaliser en premier pour ne pas perdre ton temps et atteindre tes objectifs.
Tout le reste est superflu !
Sans la formation pour cadrer les choses, je serais encore en train d’acheter des bouquins, de recenser toutes les pédagogies existantes et de faire mes trucs toute seule dans ma chambre sans aller au-devant des parents et de leurs enfants pour les comprendre.
Je me serais lancée dans un blog chronophage, à créer tout un tas de contenu pour expliquer la neuropsychologie à des parents qui n’ont pas le temps de lire… et qui s’en foutent complètement !
Comment je le sais ?
Dans le cadre du cours, j’ai sondé de nombreux parents sur Facebook, et tout ce qu’ils veulent c’est une personne capable de satisfaire leurs besoins.
Ils veulent juste que quelqu’un vienne chez eux et aide leurs enfants à être meilleurs à l’école. Pas le faire eux-mêmes.
Détecte un problème ou un besoin pour le satisfaire
C’est sans conteste la partie la plus difficile. Car pour détecter le besoin ou le problème d’un groupe de gens, il faut déjà savoir à qui tu t’adresses :
Ta cible
Alors, pose-toi la question :
Qui cibles-tu avec ton idée de business ?
Pour bien choisir ton client cible, respecte simplement ces 3 règles d’or. Et fais attention de ne pas te tromper.
Par exemple, qui crois-tu que je cible avec mon service de soutien scolaire ? Les enfants ?
Non ! Car ce ne sont pas eux qui me payeront, mais leurs parents. Même si à terme, je règle le problème de leurs enfants.
Bref, ne perds pas de vue la finalité de ton business : gagner de l’argent. Et choisis ta cible en fonction.
Le besoin de ta cible
Lorsque l’on analyse le business d’un nouvel entrepreneur, il y a toujours un énorme fossé entre son idée de départ et le besoin réel du client.
Voilà sûrement la notion la plus contre-intuitive que m’a enseignée 1k1mois :
Tout est toujours différent de ce que l’on pense.
Et une fois de plus, mon exemple ne fait pas exception à la règle.
Mon idée de départ partait pourtant d’un constat sans appel :
Malgré une forte demande en bilans neuropsychologiques, les listes d’attentes sont insoutenables pour les patients. À l’hôpital, certains parents attendent 1 à 2 ans avant d’obtenir un rendez-vous pour un petit bilan ou un check-up.
C’est énorme ! Aberrant…
Les difficultés scolaires étant le motif principal de ces demandes de consultations, j’ai décidé de créer des cours poussés pour l’aide à la compréhension des enfants ayant des troubles d’apprentissage.
Puis, comme nous l’enseigne 1k1mois, j’ai démarché des parents en direct pour leur proposer mon aide.
Et là, ô surprise !
Moi qui pensais qu’ils voulaient une psy à domicile qui « change le cerveau » de leurs enfants, leurs retours m’ont fait comprendre que ce n’était pas ce qu’ils attendaient de moi.
Ils voulaient plutôt :
- Une aide à la lecture pour un enfant en manque d’attention.
- Des cours dans une matière spécifique suite à une mauvaise évaluation scolaire.
- Une aide aux devoirs reprenant simplement le cahier de textes.
Des choses pas bien compliquées finalement. Quand bien même leurs enfants avaient déjà consulté un orthophoniste pour un retard de langage, un psy, ou avaient déjà eu des difficultés d’apprentissages avérées.
Au début, cela m’a un peu frustrée. Ce n’était pas ce que j’avais imaginé.
Puis j’ai repensé aux mots de Haydée dans son cours :
« Si tu as une idée en tête, ne te marie pas avec ! Ton objectif n’est pas de décider de ce que tu penses être profitable. Ton avis n’importe pas. C’est celui des personnes que tu vas aider qui prime. »
Comprends bien que pour cela, il faut aller sur le terrain, s’adresser à ta cible en lui demandant concrètement :
« De quoi avez-vous vraiment besoin ? »
« Quelles sont vos attentes ? »
Ce que j’ai fait. Et j’ai adapté mon offre en fonction des besoins de mes clients pour qu’ils soient satisfaits. Même si ce n’est pas ce à quoi je pensais au début.
Ce qui ne m’empêche pas d’aider davantage les enfants avec leurs troubles d’apprentissage une fois la confiance installée avec les parents.
Des résultats rapides pour un avenir assuré
Comment faire pour la suite ?
Comme je te l’ai dit au départ, impossible de t’expliquer toute la démarche en détail.
Sache cependant qu’au-delà de la livraison d’un service de qualité…
Tout est basé sur le relationnel !
Tu devras donc :
- Privilégier l’écoute et l’empathie
- Convaincre grâce aux bénéfices que tu apportes
- Être proactif et accessible
- Prouver ta responsabilité et ta fiabilité
- Être extrêmement communicant
Logique dit ainsi, mais la stratégie et les tactiques psychologiques qui se cachent derrière l’application de ces notions à ton business ne sont pas innées.
Voilà ce que la méthode 1k1mois m’a appris à gérer concrètement.
Une démarche parfaitement adaptée aux services à la personne qui m’a permis d’obtenir des résultats bien plus rapidement que prévu.
4 clients réguliers en à peine 2 mois
Aujourd’hui, lorsque l’on pense business avec l’aide d’internet, les infos qui circulent sur le web ont tendance à biaiser notre vision :
- Blog professionnel
- Site e-commerce
- Webmarketing
- Connaissances techniques poussées
De quoi se sentir découragé quand on n’y connaît pas grand-chose…
Mais tu n’as pas besoin de tout cela pour trouver des clients et te lancer !
D’autant plus si, comme moi, tu exerces une activité en local.
Comment trouver tes clients ?
Évite tous les intermédiaires possibles.
Une fille m’avait conseillé de m’inscrire sur Acadomia ou Complétude ; des plateformes de mise en relation pour proposer ses services de soutien scolaire.
Mais à quoi bon fuir la précarité du salariat de la vie réelle si c’est pour la retrouver en virtuel ?
Pas question d’être payée une misère par des plateformes qui prennent des marges conséquentes sur ton dos en échange d’un peu de visibilité sur le Net.
J’ai également refusé de passer par les Organismes de Service à la Personne. Car en plus de marger sur ton travail, ils n’hésitent pas à te faire bouger un peu partout.
Je ne tenais pas à perdre mon temps dans les transports, préférant rester dans les environs de Boulogne pour plus de praticité.
Alors, je me suis inscrite sur tous les groupes et communautés Facebook de Boulogne-Billancourt parlant d’échanges de bons plans.
Tout simplement.
Et je me suis attelée à contacter les parents qui postaient régulièrement en disant avoir besoin d’aide ou d’un prof particulier pour leurs enfants.
Cela peut paraître bête, mais sans 1k1mois, je n’aurais pas pensé à m’adresser directement aux gens autour de moi. Parce que je n’aurais pas pris le temps de cibler mon « client idéal » en amont.
Cerne correctement ton client et tu sauras où le trouver.
Comment accrocher tes prospects ?
Un seul conseil qui vaut de l’or :
Ne parle ni de toi ni de tes super compétences au moment de démarcher !
Tes prospects ont besoin d’aide, pas de voir à quel point tu es génial. Alors, montre-leur concrètement en quoi tu peux les aider.
Communique-leur les bénéfices que tu peux leur apporter.
Pour ma part, lors du premier contact, je dis simplement aux parents :
« Je peux rendre votre enfant autonome. »
« Je peux assurer sa réussite scolaire. »
Ils accrochent, me demandent à en savoir plus et nous discutons.
J’écoute… j’écoute encore et je pose des questions.
Puis une fois que j’ai cerné leurs attentes précises, je leur explique ce que je peux faire pour eux. Et s’ils ont des demandes spécifiques, je leur assure que je peux les satisfaire sans souci.
Bref, il faut écouter et rester flexible pour s’adapter à la demande de chacun.
Évidemment, au début je n’étais pas sûre de moi. J’avais beau préparer mes entretiens, la timidité et l’incertitude m’envahissaient, parfois même au point de me faire trembler.
Mais il faut bien se lancer, commencer à pratiquer.
Heureusement, la méthode rassurante et bien structurée du cours m’a aidé dans cette démarche.
Et j’ai été surprise de voir que cela marchait à chaque fois !
Du coup, tout est allé très vite.
J’ai obtenu mon premier client alors que la formation n’était pas encore finie. Puis les autres sont arrivés après les vacances de Noël.
Résultat :
Aujourd’hui, j’assure de l’aide au devoir tous les soirs pour 4 clients récurrents qui m’apportent une source de revenus réguliers.
Et je dispose de quelques clients sporadiques. Comme ce papa qui m’a demandé d’assurer un stage intensif pour sa fille.
540 € par mois en parallèle de mon Master 1
Souviens-toi de mon premier objectif à court terme :
« Gagner 200 € par mois à partir de janvier 2018. »
Objectif largement dépassé !
Si l’on fait une moyenne, dès le début d’activité, j’ai gagné autour de 540€ par mois en micro-entrepreneuse.
En sachant que je ne travaillais que 3 semaines sur 4 pour un volume mensuel d’environ 27 heures.
Bref, j’étais heureuse d’avoir réussi à passer ce premier cap…
Tout en ayant optimisé mon énergie et mon temps !
Après mes premiers démarchages, je n’ai pas cherché de nouveaux clients. Cela me permettait de :
- Commencer tranquillement tout en assurant mes études.
- Nouer de bonnes relations avec mes clients actuels.
- Comprendre leurs attentes et de m’adapter à leurs enfants.
Et puis, comme le dit si bien Haydée :
« Il vaut mieux concentrer ses efforts sur la satisfaction de ses clients existants pour les fidéliser et faire jouer le bouche-à-oreille plutôt que de mettre beaucoup d’énergie à en rechercher de nouveaux. »
Ce que j’ai déjà constaté avec ma première cliente qui m’a recommandé auprès d’une de ses connaissances.
1 000 € par mois dès mon entrée en Master 2
Très vite durant mon année de M2, j’ai atteint 1 000€ par mois de revenus récurrent.
Tout cela en plus de mes stages et de ma bourse.
De quoi se sentir à l’aise pour cette dernière année d’étude et envisager l’avenir bien plus que sereinement.
Puis le reste s’est enchaîné tout seul…
Où j’en suis aujourd’hui ?
- Je suis neuropsychologue diplômée
- Je travaille en hôpital
- Je donne toujours des cours et je fais des consultations en libéral
C’est ma première année post-diplôme et je suis dans le dispositif étudiant-entrepreneur.
Je vais créer ma SASU dans le domaine du soutien scolaire pour mettre en relation des étudiants en orthophonie, psychologie, etc. avec et des enfants en difficultés d’apprentissage.
Je travaille beaucoup sur tous ces projets.
Mes craintes quant à ma difficulté d’insertion professionnelle n’existent plus ! Et je peux dire que je vis de manière décente grâce au tremplin qu’a été 1k1mois dans ma vie.
Cela m’a permis de balayer toutes les croyances liées à l’entrepreneuriat, à savoir que c’est quelque chose d’inaccessible.
Tout le monde peut vendre ses services pour peu qu’on le fasse bien.
D’ailleurs mes clients obtenus grâce à la méthode ne veulent plus partir alors que c’est moi qui pars vers d’autres horizons (je ne peux pas leur appliquer les tarifs de cabinet qui sont 2,5 fois plus chers!).
Enfin, créer des formations en lien avec les troubles de l’apprentissage reste dans un coin de ma tête. Mais pour l’instant, ce serait encore le projet titanesque de trop… Et la concurrence reste rude.
Quoi qu’il en soit je compte reprendre la formation pour préparer une nouvelle offre.
Pourquoi pas démarcher des prospects intéressés par des services de préparation aux examens.
Je suivrai donc sûrement la prochaine session 1k1mois avec plaisir pour me remettre dans le bain.
Dit ainsi, ça sonne un peu comme un jeu, tu ne trouves pas ?
Faites vos jeux ! Assurez votre avenir !
Qui sait, peut-être parierons-nous ensemble si tu me rejoins lors de cette prochaine session ?
Ghizlène Rabhi par…
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Salut Tony,
Super article. Malheureusement, j’entends déjà beaucoup me dire que ce n’est pas possible et qu’ils n’ont pas le temps, que c’est trop risqué… Et qu’ils veulent quelque chose de sûr. Jeune et déjà la maladie de l’excusite. Enfin, je ne vais pas faire de généralités car j’espère que certains seront inspirés et qu’ils feront des « baby steps ». Le but n’est pas de tenter de créer Facebook mais juste de gagner un peu plus d’argent et après sait-on jamais ! On prend vite goût à l’indépendance avec 500 euros depuis sa chambre puis 750 euros et + et encore + ….
Merci pour cet article très inspirant.
« L’excusite » :) Voilà un terme bien sympathique pour parler des objections qui caractérisent ceux qui ont du mal à passer à l’action.
Le remède ? Coupler ses motivations profondes (car il en faut) à un plan d’action bien défini et en faire un petit peu tous les jours. La régularité est la clé.
Je te rejoins également sur les « babys steps » pour éviter l’effet olympique.
C’est comme avec le sport : devenir champion olympique en partant de zéro ne s’obtient pas en commençant d’entrée avec un programme sportif de haut niveau. On débute par 30 minutes avec de petits efforts raisonnables. On tient un rythme régulier (un peu chaque jour) pour habituer son corps au nouvel effort. Et l’on augmente le temps et la difficulté au fur et à mesure.
L’avantage avec le business, c’est qu’il ne demande pas d’être aussi ambitieux (donc pas de Facebook, exactement). Le but est juste de gagner de l’argent avec ses compétences. Et en suivant la bonne méthode, cela peut s’obtenir très rapidement sans effort démesuré.
Encore faut-il le vouloir vraiment ! Pas uniquement le rêver. À chacun de trouver son moteur « intérieur » pour y parvenir.
super article :-)
Pour ma part, j’ai fait beaucoup de soutien scolaire après le BAC.
J’ai même développé cette activité à une période de ma vie où cela assurait la majorité de mes besoins financiers.
Résultat : jusqu’à 20 clients réguliers chaque semaine !
Et cela m’a fait réalisé une chose incroyable à l’époque :
Certaines personnes de mon âge m’ont demandé mes astuces pour atteindre un chiffre aussi important.
Je leur ai confiées toutes mes astuces, avec toutefois la peur d’être copiée et de perdre mon potentiel de clients (affichettes dans les boulangeries, annonces sur internet, bouche-à-oreille…)
et bien résultat : rien n’a changé !
Ces personnes se plaignaient de leurs propres (faibles) résultats, mais elles n’ont pas appliqué un seul de mes conseils.
Alors ma recommandation : posez le premier acte ! Agissez ;-)
Ce conseil me suit toujours aujourd’hui et m’est désormais bien utile dans mon activité d’entrepreneuse !
Yep ! Je ne suis pas étonné Stéphanie. Ce n’est pas parce que tu donnes des astuces aux gens qu’ils s’en serviront.
– Combien de personnes ont une boîte à outils dans leur garage et ne l’utilisent jamais ? ;)
– Combien de personnes achètent ou téléchargent des guides pratiques et n’en appliquent jamais les principes ?
Sûrement un paquet…
Après, je ne les blâme pas. Nos habitudes d’hyperconsommation nous conditionnent dans ce sens. Et nous sommes tellement submergés d’infos que nous ne savons plus quoi en faire (ça paralyse). Alors que nous pourrions nous contenter de quelques bonnes infos pour en appliquer les principes en les confrontant au terrain. Bien plus effectif pour apprendre tout en gagnant de l’expérience.
Le problème est bien ce premier passage à l’action. Lorsque l’on n’en a pas l’habitude, ça pique ! Mais une fois enclenché le cercle vertueux du passage à l’acte, tout devient naturel (voir jouissif à force). C’est comme pour tout dans la vie, le plus difficile est de commencer en habituant son cerveau à prendre une bonne habitude.
En tout cas, tant mieux pour toi ! Ta démarche te permet d’être dans le haut du panier et de te démarquer de tes concurrents. D’autant plus qu’à force d’actions, tu as su diversifier tes offres.
Au passage, bravo pour ton site/blog et ta manière de communiquer ! Venant d’un freelance, je ne vois pas souvent une telle qualité sur le Net. Je comprends pourquoi tu enchaînes les clients réguliers. Et ça fait vraiment plaisir. :)
Bravo pour cet article, espérant qu’il soit inspirant.
Bravo, très bel article et très belle infographie de Tony. Le sujet est malheureusement d’actualité depuis des décennies ; Je travaillais comme conférencier pour payer mes études il y a 30 ans, j’aide mes enfants à entreprendre en parallèle de leurs études aujourd’hui ;-).
Je ne suis pas étonné que tu aides tes enfants à entreprendre en parallèle de leurs études Cyrille. Tu as toujours eu cette volonté d’indépendance. Normal que tu la transmettes aux générations futures. :)
Cette difficulté pour les étudiants ne date effectivement pas de 2018. La différence est que les jeunes d’aujourd’hui font face à des problématiques de quarantenaires issus du baby boom… Leur courbe d’apprentissage de la vie n’a plus rien à voir avec les générations passées. Heureusement, comme nous le prouve Ghizlène, ils percutent bien plus vite pour assurer leur résilience. Et l’internet n’y est pas étranger.